Le nom illustre l’identité de son titulaire. Quand ce nom est prononcé, il ramène à l’esprit quinconce le porte. Donc, il vaut mieux de bien choisir le nom de nos enfants. Il est dit dans les hadiths que le meilleur nom à choisir est celui qui illustre la soumission à Dieu ; et partant de là, les noms des prophètes ((que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur eux) comptent parmi les meilleurs.
L’appellation, le nom et le titre représentent le tableau, l’identité et la nature de toute chose. Le nom, une fois prononcé et entendu, rappelle aux gens quiconque le porte. Il est, donc, nécessaire de donner un nom à tous les humains et à toutes les autres créatures de Dieu (Plantes, animaux, corps inanimés), un nom qui les illustre et les identifie.
Par ailleurs, il faut choisir le meilleur nom à son enfant d’autant plus que l’homme est le meilleur des créatures, et qui jouit d’une personnalité indépendante. Il faut choisir un nom qui correspond au statut, à l’honneur et à la dignité de l’homme. Le noble prophète de l’islam (que Dieu le bénisse, lui et les siens), dit : « l’un des droits de l’enfant sur son père est que ce dernier lui donne un bon nom et une bonne éducation »1[1]
En islam, le fait d’avoir un bon nom et un bon surnom est considéré comme une valeur et peut avoir des impacts positifs sur l’âme et le corps. Donc, il incombe à tout musulman de choisir un bon nom ayant une noble signification pour ses enfants, car un bon nom porte une bonne signification et un mauvais nom porte une mauvaise signification affectant la dignité humaine.
Les critères et règles définis dans les enseignements de l’islam pour choisir un bon nom pour des enfants sont :
Pour conclure, il nous faut de choisir les meilleurs noms pour nos enfants.
[1] حق الولد على والده ان يحسن اسمه و ادبه" « Le droit de l’enfant sur son père pour qu’il lui donne un bon nom et une bonne education “
[2] Bihar al-Anwar, t.101, p.130
[3] Bihar al-Anwar, t.101, p.130
[4] Bihar al-Anwar, t.101, pp.130 et 131
[5] Horr Amoli, Wasaeil Shiaa, t. 21, p.399
[6] [6] Horr Amoli, Wasaeil Shiaa, t. 21, p.398